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Ma culture jeux vidéo ne serait rien sans ces années passées à lire Joystick puis Canard PC. Journaux au ton indépendant, humour et franchise à la clé, ses journalistes étaient, et sont encore, des héros si je puis m’exprimer ainsi. C’est avec tristesse que j’ai appris le décès de Jérôme Darnaudet, plus connu sous le pseudo Lord Casque Noir, journaliste, fondateur et directeur de Carnard PC. Canard PC la suite logique de Joystick, magazine dont était issu Jérôme Darnaudet et la plupart de ses acolytes de CPC.
Tout naturellement ça fout un coup. Merci Lord Casque Noir, bonjour à Seb.
[spacer color=”264C84″ icon=”fa-empire”]Genre : Course – Action – SF
Fonctionne sur : Windows (7, 8, 10)
Français : non
Sorti le : 17 mai 1999 puis 2018 sur GOG
Éditeur : LucasArts / Disney
[button link=”https://www.gog.com/game/star_wars_episode_i_racer?pp=3df425831d26b7e3839476fb4fae2293b619744f” size=”default” icon=”Select a Icon” side=”left” target=”blank” color=”4514b7″ textcolor=”ffffff”]Dispo chez GOG[/button]
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Voici une petite annonce pour vous dire que j’ai pu rejouer à Star Wars : Episode 1 Racer grâce à sa ressortie dans le store de GOG.COM ces derniers jours. Ce jeu était sorti en 1999, presque 20 ans, sur consoles et PC. Je peux vous dire que j’y ai beaucoup beaucoup joué, notamment avec Bibouzh, rédacteur ici-même, et ce en réseau local. Star Wars : Episode 1 Racer n’a rien perdu de sa fougue. Certes il est pas très très joli, 19 ans je vous le rappelle, mais ça été un vrai plaisir de me replonger dans les courses effrénées tirées du film “Star Wars: La Menace Fantôme”.
Actuellement à un peu plus de 6 euros chez GOG, c’est un bon prix pour beaucoup de nostalgie à la clef. Je vous laisse découvrir le gameplay de Star Wars : Episode 1 Racer tourné il y a peu par mes soins.
Titre : Ancestors Legacy Multiplayer Open Beta
Genre : Stratégie tactique
Français: non (la version finale devrait avoir les textes en français)
Développeur : Destructive Creations
Éditeur : 1C Company
Date de parution de la version finale estimée: 22 mai 2018
Nous avons eu l’occasion de jouer à l’open beta Multiplayer de Ancestors Legacy. On ne fait pas assez souvent, hélas, par manque de temps, d’articles sur les betas. Mais le contact avec Ancestors Legacy a été tellement probant, que je me suis dit qu’il fallait en parler. Nous ne parlerons ici que du mode multijoueur car cette version beta était dépourvue du mode histoire et solo.
Ancestors Legacy est un jeu tactique et stratégique à petites escouades. Vous ne dirigez pas des milliers de soldats, mais des troupes d’une dizaines de bonshommes environ. Ok plusieurs escouades, ça peut faire une grosse armée, mais vous n’atteindrez pas le nombre d’un Cossacks 3: ce n’est pas le but et ce n’est pas du tout le même style de jeu non plus. Si vous deviez comparer, il faudrait vous tourner vers un “Men at War” ou éventuellement un “Compagny of Heroes”, mais sauce médiévale.
Nous avons essayé le mode escarmouche, 1 VS 1, Bibouzh contre moi, et il m’a mis une volée. Ensuite le 2 VS 2, nous deux contre l’I.A. Notez qu’ il est possible de jouer contre de vrais joueurs. Nous avons mis de côté le mode 3 VS 3, faute de compagnons dispos et de clefs betas (nous n’en avions que deux). Chaque mode est sur une carte différente. Le but du jeu est, soit de détruire les adversaires, annihilation, soit d’avoir le maximum d’influence sur la map en ressources, armée et implantation: domination. Vous partez avec un tout petit camp pourvu d’un simple hôtel de ville, et à vous de développer tout ça petit à petit pour obtenir votre première escouade, puis deux, puis trois etc… Il vous faudra des ressources, et ces matières premières ne tombent pas du ciel. Ce pourquoi, sur la carte, des villages sont disséminés. Il faudra les capturer pour que ces derniers vous fournissent en bois, nourritures et métaux. Ces villages, et surtout leurs ressources, c’est le nerf de la guerre. Les adversaires tenteront de vous les reprendre. En plus des escouades dites d’infanterie, selon les factions (Vikings, Anglo-Saxons, Allemands et Slaves) vous pourrez développer des archers, la cavalerie et d’autres joyeusetés qui pourront, peut-être, vous aider à conquérir le monde. Je vous passe le reste des détails, comme les escouades qui gagnent de l’XP, montent en niveau. On verra ça dans la version finale et son article test.
Bon, nous, on a accroché. On a même fait et refait la map 2 VS 2 plusieurs fois. On s’est fait rouler dessus, même par l’I.A. Easy ! On a réussi à les gagner une fois, mais ce fut épique. Et c’est là que Ancestors Legacy est bien: il est à la fois épique, et exigeant, mais au final, on est heureux de gagner, même contre “l’I.A. Easy”. La bande son est très immersive, et les graphismes sont plutôt mignons. Petit gadget, quand on utilise la touche W ou Z en Qwerty, on a une vue zoomée de notre escouade sélectionnée. Rigolo mais à la longue on l’oublie. Donc surveillez ce jeu, Ancestors Legacy, il promet de belles parties online. Reste à voir si la campagne solo sera à la hauteur du multiplayer ?… A suivre.
Titre : Pillars of Eternity II: Deadfire
Genre : RPG
Français sur la preview: non
Développeur : Obsidian Entertainment
Éditeur : Versus Evil, Obsidian Entertainment
Date de parution : 3 avr. 2018 – Dispo chez GOG en précommande.
Obsidian nous a envoyé la version beta de Pillars of Eternity II: Deadfire pour que nous puissions faire un aperçu de la bête. Et je peux vous dire que j’étais tout excité rien qu’à l’idée de pouvoir mettre les mains dans le second volet d’un premier opus qui m’avait bigrement emballé. Financé aussi par du participatif sur Fig, Pillars of Eternity II: Deadfire a explosé la cagnote à 400% à l’heure à laquelle j’écris cet article. Autant vous dire qu’il est plutôt attendu le bougre. Le premier volet avait été financé quant à lui sur Kickstarter.
Il faut que j’ajoute que la beta ne reflète, si j’en crois les dires de notre interlocuteur lié à Obsidian, que 5% grand max de la version finale. Cet aperçu sera basé sur cette expérience et avec le potentiel futur décrit sur le papier. Donc, j’insiste, un aperçu c’est un avant goût et en aucun cas un test. Ok ? Booooon.
Dans un jeu comme Pillars of Eternity II: Deadfire, une des parties les plus importantes, et une des plus longues, c’est la création du personnage: votre avatar. Tout comme dans Pillars of Eternity 1, c’est très complet. Nous sommes bien d’accord que je ne parle pas de l’esthétique uniquement. Je pointe essentiellement tout ce qui est background, compétences, particularités, connaissances bref, tout ce qui pourra vous aider à parcourir ce monde complexe parsemé d’embuches.
Tout comme dans le premier volume, Pillars of Eternity II: Deadfire vous mettra à la tête d’une escouade d’aventuriers croisés ici et là et embauchés au gré de votre périple. Problème dans la beta, vous commencez avec l’équipe déjà bien avancée en level, et j’avoue que maîtriser un avatar déjà bien pourvu, sans le moindre tuto ou apprentissage n’est pas chose aisée, et peut même nuire à l’expérience. Ce n’est pas grave, nous sommes dans un aperçu.
Nous retrouvons ici le combat tour par tour avec pause, qui induit une grosse partie de stratégie et de tactique dans vos combats, contrairement au “temps réel” qui peut vite devenir un vrai bordel dans ce genre de jeu. Cependant, tout comme dans Pillars of Eternity 1, même en la jouant tactique-pause, on garde un soupçon de bazar dans les combats. De ce côté-là, je ne suis absolument pas perdu.
Pillars of Eternity II: Deadfire nous promet de bonnes batailles navales, toujours en combat au tour par tour. Ne vous attendez pas à du Assassin’creed Black Flag ici. Il vous faudra embaucher des matelots à disposer aux endroits clés de votre navirre, acheter des canons et autres armes pour rendre votre flotte de plus en plus performante. Bingo ! Il va falloir looter des ressources pour upgrader tout ça.
Vous l’aurez deviné, l’histoire de Pillars of Eternity II: Deadfire ne se déroule plus à 100% sur de la terre ferme, mais sur des îles éparpillées, que vous visiterez pour tenter de trouver le gros méchant du jeu et, bien sûr, le buter. Navigation et petite rando boum boum à la clé.
J’ai trouvé les graphismes de Pillars of Eternity II: Deadfire très jolis. Pour les amoureux des jeux en 3D isométriques à l’ancienne, Deadfire ne déroge pas à la règle et sent bon le Baldur’s gate dans la forme. Mais arrêtons là la comparaison. A quoi bon. Pillars of Eternity II: Deadfire se suffira à lui même. Cet aperçu aura eu un mérite me concernant: me faire trépigner d’impatience et goûter à la version finale. Notez que Pillars of Eternity II: Deadfire sera dispo chez nos amis GOG.fr
Titre: UNDER NIGHT IN-BIRTH Exe:Late[st]
Genre: Combat – Arcade – Anime
Langues: Voix japonaises, sous-titres: anglais
1 – 2 joueurs
2 – 8 joueurs en réseau (PlayStation®Plus requis)
Résolution de l’écran HD : 720p
Sortie du jeu de combat UNDER NIGHT IN-BIRTH Exe:Late[st] des studios Arc System Works et French Bread. Jeu très orienté anime-manga, aux combats 2D plutôt vifs, UNDER NIGHT IN-BIRTH Exe:Late[st] vous propose pas moins de 20 personnages combattants et 19 lieux différents.
Amoureux de lecture et histoire fournie, le mode chronicle est fait pour vous. Par contre, c’est du full english, et je peux vous dire que ça cause. Sont bavards les persos !
Un mode tuto s’offre à vous, afin de découvrir la richesse des combos. Très utile car se lancer à l’aveugle est suffisant au début, mais on se trouve rapidement à court de coups spéciaux contre des ennemis plus belliqueux. J’aime bien ce terme.
Graphiquement le jeu est très coloré et l’ambiance anime est très sympa. Ça crie, ça hurle, ça gémit, comme dans les mangas de notre jeunesse (oui, je suis pas jeunesse là actuellement, et il parait que ça ne va pas dans le bon sens ce truc). Et qui dit manga, dit dialogues, beaucoup de dialogues. Alors si vous êtes réfractaire à la langue de Shakespeare, évitez le mode histoire. (Vous pourrez passer les palabres au pire). Vous perdrez en fond, mais si les combats sont votre priorité, alors vous pourrez vous amuser sur votre canapé. Spif paf pouf cri cri cri, ça en jette. Les persos sont en 2D, et ça donne un côté rétro pas dégueu du tout. On pourra regretter cependant une résolution en 720p. UNDER NIGHT IN-BIRTH Exe:Late[st] n’est pas mauvais mais saura-t-il faire sa place dans ce genre déjà bien fourni ? Grâce à son côté anime, je pense que oui.
“Stratégie au tour par tour : quand l’être humain devient trop invasif, les aliens ont besoin d’aide pour repousser le fléau hors de leur planète”
Attack of the Earthlings , développé par Team Junkfish, des écossais, met en scène la corporation bancale Galactoil, une entreprise d’énergie venu de loin pour pomper, si je puis dire, la planète X13 de ses précieuses ressources fossiles. Les humains, colonialistes pédants, s’imaginent un peu trop vite que les Swarmers, autochtones insectoïdes du coin, vont se laisser faire.
Entre combats au tour par tour et infiltration, la campagne d’Attack of the Earthlings est imprégniée d’humour noir. Vous voilà Swarmers, et vous n’aurez qu’un seul but: bouffer de l’Humain finalement une excellente ressource pour vos unités.
Le gameplay d’Attack of the Earthlings s’articulera sur plusieurs points. les Swarmers pourront sortir des conduits d’aération et des casiers de vestiaire pour surprendre leurs envahisseurs humains. Déclenchement de l’alarme prohibé ! Infiltration au maximum est ici recommandée. Ensuite, libre à vous de becter les humains qui deviendront, de fait, vos unité. Expéditif mais malin en fait.
L’envahisseur envahie en quelques sortes.
Sortie le 8 février sur steam, attachez votre serviette au tour du cou, vous allez bouffer de l’humain ! (sans sel, c’est pas bon pour votre tension)
Ce 26 janvier sort Railway Empire de Kalipso Media, un jeu de gestion de réseau ferroviaire, comme le fut en son temps Transport Tycoon. Dans une ambiance USA du 19ème siècle, vous devrez faire prospérer le pays grâce à votre société de transport et vos investissements. Construction de gares, d’entrepôts, vous gagnerez de l’argent et de l’expérience pour vous lancer dans la recherche technologique afin de développer de nouvelles locomotives. Gestion, stratégie (vaincre la concurrence), Railway Empire s’annonce très alléchant. Le tout en français intégral off course. Grobiduch est en train d’y jouer, un article plus complet vous sera proposé bien évidemment. Pour l’instant, c’est du bon nous dit-il !
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