Après avoir brillamment écarté le dieu déchu, les humains ont instauré un nouvel ordre… un monde où le péché ne peut être pardonné, où la rédemption n’est pas envisageable.
Pas d’images ? Version web Affrontez les dieux dans ce RPG d’action technique et destructeur, inspiré de Dark Souls. ![]() GOG.COM © 2018. Une entreprise du groupe CD PROJEKT. Tous les autres produits et copyrights appartiennent à leur propriétaire respectif. GOG sp. z o.o., ul. Jagiellońska 74, 03-301 Varsovie, PologneCe message est uniquement à titre informatif et ne constitue pas une offre à lui seul. Les prix et réductions spécifiques peuvent être amenés à changer. Allez sur GOG.COM pour plus de détails sur les offres individuelles.Vous recevez ce message car votre adresse de messagerie électronique figure sur notre liste d’abonnés. Vous pouvez mettre fin à votre abonnement si vous ne souhaitez plus recevoir de messages de notre part. |
[spacer color=”264C84″ icon=”Select a Icon”]Titre : GRIP: Combat Racing
Genre : Course automobile arcade-action, Accès anticipé
Français : textes
Développeur : Caged Element Inc.
Éditeur : Wired Productions
Date de parution : sortie de l’accès anticipé le 6 novembre 2018[spacer color=”264C84″ icon=”Select a Icon”]
Bienvenue dans un monde futuriste où les courses de F1 ont disparu depuis longtemps: place à l’ultra-vitesse dans des tournois où tout est permis. Quelle belle intro. GRIP: Combat Racing est un jeu de courses fun qui rappellera aux vieux comme moi, un jeu sorti en 1997 : POD (on peut le trouver chez notre partenaire GOG, il a, certes, vieilli mais il sent bon le bon vieux temps). Ici pas de voitures conventionnelles, mais un bloc, 4 roues, et hop, envoyez la nitro.
Sur certains aspects du gameplay, GRIP: Combat Racing a les rouages d’un Mario Kart ou d’un Sonic & All Stars Racing Transformed (put… de nom à rallonge). Vous trouverez en effet des courses avec des bonus activables comme des roquettes, des mitraillettes, bouclier arrière etc… Dans GRIP: Combat Racing on peut rouler sur le sol, les murs et le plafond (quand il y’en a un bien sûr). Tout est fait pour aller vite, très vite. Je me demande si je n’ai pas perdu des cheveux tellement GRIP: Combat Racing va vite.
GRIP: Combat Racing propose une campagne qui se décompose en 11 phases de plusieurs tournois. Au début ce sera simple: des courses lambda avec un turbo éventuellement, et petit à petit vous découvrirez les joies des bonus cités plus haut, des arènes genre Destruction Derby mais à coup de flingues, des captures de drapeaux, etc, etc. GRIP: Combat Racing propose plein de styles de courses très variés. Ce n’est pas le cas des environnements. Certes jolis, ils sont très (trop) peu variés. Neigeux, lunaires, martiens, elfiques (je l’appelle comme ça, car il y avait un peu d’herbe, et les elfes, ça bouffe de l’herbe). Bref ce n’est pas la folie. Quoiqu’il en soit, même avec ce bémol, GRIP: Combat Racing est vraiment fun et exigeant. A la moindre erreur de conduite, de défonce par un adversaire, il sera difficile de remonter premier. Le challenge est de taille et c’est très bien. J’ai trouvé aussi l’interface un peu bordélique ou étrange, comme ne pas savoir si un tournoi était terminé ou à faire. C’est pourtant bien écrit, mais ce n’est pas clair. Croyez moi, on s’en fout royalement. GRIP: Combat Racing n’est pas un jeu de menus, mais un jeu de courses, point.
Hors campagne il y a un mode solo qui reprend un peu tout ce qui se trouvait dans la campagne, et un mode multijoueurs. Ce dernier, plus grisant car il est bien plus drôle de se battre contre des copains que l’i.A, propose tout ce qu’il y a dans le reste des modes. Il y a aussi un mode multijoueurs local en splitscreen jusqu’à 4 joueurs. Autant vous dire que sur un écran 24 pouces de PC c’est à chier, mais sur une télé de taille conséquente, ce sera un vrai plaisir.
Plus vous gagnerez de l’expérience, plus vous débloquerez des objets dans le garage. Cet endroit vous permettra d’avoir des véhicules plus rapides, plus costauds ou qui tiendront mieux la route, à vous de trouver le genre qui vous plaira le plus. Et bien évidemment vous pourrez aussi customiser vos bolides avec un éditeur assez complet mais ultra nouille à manipuler. En tout cas moi ça m’a troublé. Graphiquement GRIP: Combat Racing est très joli quand on aime les décors futuro-industriels, et les effets de vitesse sont très bien rendus. Voilà, GRIP: Combat Racing est un excellent jeu d’arcade comme on n’en trouvait plus.
[spacer color=”264C84″ icon=”Select a Icon”]Titre : Megaquarium
Genre : Tycoon, gestion de parc
Français : oui textes
Développeur : Twice Circled
Éditeur : Twice Circled
Date de parution : 13 sept. 2018[spacer color=”264C84″ icon=”Select a Icon”]
Aujourd’hui nous allons parler rapidement de Megaquarium un jeu de gestion …ben d’un parc d’aquariums si je puis dire. Nous sommes clairement dans le genre Tycoon bien connu des friands de Two Points Hospital, Big Pharma, j’en passe et des meilleurs. Donc vous l’aurez compris, ici nous allons vivre des visites de notre Megaquarium, en proposant petit à petit des aquariums de plus en plus grands et proposant un grand nombre de poissons différents.
Comme dans beaucoup de Tycoon, il faudra faire un gros travail de gestion. Gestion financière, sociale (avec les employés), animale (avec les poissons), et mécanique (gestion du matériel). La première est le nerf de toutes les autres. Sans argent on ne pourra pas embaucher, améliorer le bien-être des poissons, et maintenir le fonctionnement du matériel. Le principe de Megaquarium diffère peu voire pas du tout des autres Tycoons du genre. La différence se fera dans la richesse de la campagne… l’est-elle ? Ou dans la pépouzité du mode bac à sable?
Franchement, et comme dans beaucoup de jeux, la campagne n’est prétexte qu’à faire un bon didacticiel et donner quelques challenges. Je dois bien vous avouer que systématiquement, dans ce genre de jeux, je file direct dans le mode bac à sable car JE FAIS CE QUE JE VEUX ! Bon pas tout à fait car comme dit plus haut, il faudra bien gérer, et justement, la gestion, avec une interface pas des plus claire, ce n’est pas du gâteau. Bon Megaquarium est très sympathique. On ne peut rien lui reprocher si ce n’est qu’il ne vous fera pas abandonner un autre Tycoon. J’ai eu grand plaisir à y jouer quand même, mais je ne sais pas si je m’en souviendrai dans 5 ans. Il y a quand même de quoi s’amuser hein, plein de choses à faire: Megaquarium a un très gros contenu, mais au final on a quand même l’impression de faire tout le temps la même chose. Agrandir, améliorer, poser un aquarium pour une nouvelle variété, changer le sol, poser un objet débloqué… je schématise mais c’est un peu ça. Twice Circled les géniteurs de l’excellent Big Pharma ont fait du bon boulot malgré tout. Vraiment.
Graphiquement le jeu est plutôt mignon. J’aime beaucoup le côté cartoon des graphismes. La musique ça va, elle ne casse pas trois pattes à un serpent (j’ai entendu cette expression dans une vidéo youtube, mais je ne me souviens plus qui en est l’auteur, je m’en excuse auprès de lui par avance) mais bon , elle est plutôt discrète et sympa. Si vous achetez Megaquarium, même si cet article tend à dire que c’est un tycoon comme un autre, sachez que ça n’en fait pas un mauvais jeu pour autant. Il ne se démarque pas franchement de la concurrence, c’est tout, et vu son prix, 20 euros actuellement, c’est pas une ruine donc gérez pépouze vos poissons, vous ne serez pas déçu. Au mieux, attendez quelques soldes.
[spacer color=”264C84″ icon=”Select a Icon”]Titre : Shadows Amsterdam
Genre : jeu de société, enquête policière, déduction, imagination
Français : Mais oui !
Nombre de joueurs : de 2 joueurs en mode coopératif à 2 équipes en mode VS.
Auteur : Mathieu Aubert
Illustrateur : M81 Studio
Éditeur : Libellud[spacer color=”264C84″ icon=”Select a Icon”]
Si vous avez aimé Mysterium, vous serez ultra conquis par Shadows Amsterdam. Bien que ces deux jeux partagent certaines bases (imagination, déduction), ils sont malgré tout assez différents, déjà dans l’ambiance. Toutefois, je peux vous dire avant la fin de cet article, que Shadows Amsterdam est aussi une vraie pépite. Bon, je vais expliquer un peu le principe, mais vous verrez que selon combien nous sommes, tout va pouvoir varier, se modeler.
Dans Shadows Amsterdam, un agent de liaison va tenter d’aiguiller son ou ses détectives sans mot dire, juste en proposant une ou deux cartes illustrées. Le but sera que le ou les détectives comprennent le message et avancent d’une ou deux cases pour trouver une des trois preuves nécessaires pour avoir le droit de les valider au client. Voilà la base. Pour vous aider à mener à bien votre enquête voici ce que Shadows Amsterdam met à votre disposition :
L’agent de liaison a devant lui toujours dix cartes illustrées. Sur la table un plateau fabriqué de plusieurs scènes illustrées. Devant l’Agent de liaison, caché derrière un paravent, le plan schématisé du plateau avec l’endroit où se trouvent les preuves, la police et les clients. A lui, selon ce qu’il va vous proposer comme cartes illustrées, de vous faire deviner où il doit vous emmener. Déjà là, je peux vous dire que c’est la fête à la ralouse. “Ouaais mais je t’ai montré une église et tu avances vers le magasin de jouets!!!” “Oui mais regarde il y avait un cheval!!!” “Mais merde…” très rigolo donc. (On n’a pas le droit de parler hein, mais à la fin, on refait le match comme dans tous jeux).
Dans le cas où un des détectives de l’équipe tombe enfin sur une case preuve (ils ne le savent pas), l’agent de liaison dit “Preuve” et on pose un panneau “preuve”, (au couleur de l’équipe) sur la case. Si nous jouons à deux équipes, l’une contre l’autre donc, c’est la course à la preuve, vous l’aurez compris. Alors vous allez me dire, il suffit de zieuter ce que l’agent adverse propose en illustration à ses détectives. Oui et non. Car les schémas-plan sont les mêmes en effet sauf qu’il y a des preuves pour l’équipe orange, des preuves pour l’équipe noire, et des preuves communes. Seul hic, c’est que personne, à part les Agents de Liaison, ne le sait, et les agents n’ont pas le droit de le préciser. Ils disent “preuve” et c’est tout.
D’autre part, si vous avancez sur une case où il n’y a rien, l’agent dira “Rien ne se passe”. Si vous tombez sur une case Police, l’agent dira… “police”. Au bout de trois cases Polices trouvées par une équipe c’est game-over pour la manche, sachant que pour crier victoire, une équipe doit remporter 2 manches. Concernant les cases Police, elles s’expliquent dans le pitch du jeu, les clients, n’étant pas contents de l’enquête menée par la maréchaussée, font appel à vous, mais ce n’est pas au goût de la police qui fera tout pour vous empêcher de mener à bien votre investigation. D’où les cartes police. Contrairement à Mysterium, aucune notion de temps si ce n’est qu’il faut trouver les preuves avant les adversaires.
Dans la boîte de Shadows Amsterdam vous trouverez :
2 Figurines Détective (une orange et une noire)
2 Marqueurs Repère (que l’agent de liaison utilisera pour repérer votre position sur le plateau)
40 Cartes Plan recto-verso (chaque carte dispose de trois positions, ce qui multiplie la rejouabilité du plan)
2 Paravents (un pour l’agent de liaison orange et un pour celui de l’équipe noire)
5 Jetons Police
2 Pistes Police (Là où vous poserez le nombre de jetons police obtenus: 3, et c’est fini!)
6 Jetons Preuve avec supports (trois pour les oranges, trois pour les noires)
84 Cartes Indice (superbement illustrées)
3 Tuiles Obstacle (endroit qu’on ne peut pas traverser avec sa figurine-pion)
1 Tuile de Départ
7 Quartiers recto-verso (Assemblés, ils forment le plateau, l’aire de jeu)
1 Livret de règles (pour lire la règle du jeu. Si si. Très clair à ce propos).
Vous avez donc compris, je l’espère, le but et les rouages de Shadows Amsterdam. Toutefois, le fond ou le principal ici est d’arriver, avec des images, sans mot, à faire avancer votre équipe. Et c’est tout un challenge car, comme dans Dixit ou Mysterium, chacun voit différemment ce que transpire une illustration, et personnellement : J’A-DO-RE ! Shadows Amsterdam rentre dans mes jeux de société cultes désormais.
Warhammer 40000 Gladius Relics of War a vu le jour d’un DLC qui nous a été proposé, incluant de nouvelles unités pour l’excellent jeu 4X accessible à tous. Je le dis car j’avais déjà signalé que W4000GRW était un excellent moyen de goûter à ce genre sans se prendre trop la tête. Cette extension vendue au prix de 3.99 euros ma bonne dame, comprend donc 5 nouvelles unités, une par faction : (Je vous invite à lire le test de cet excellent jeu ici : https://www.gameovert.net/site/2018/07/27/warhammer-40000-gladius-relics-of-war/)
Scions Tempestus (Astra Militarum) : une unité d’infanterie de choc d’élite.
Immortels (Nécrons) : une unité d’infanterie blindée à moyenne portée.
Flash Gitz (Orcs) : une unité d’infanterie à distance polyvalente.
Land Raider (Space Marines) : une unité de transport massivement blindée.
Néophyte hybride (neutres) : une unité d’infanterie à distance spécialisée dans les embuscades.
[spacer color=”264C84″ icon=”Select a Icon”]Titre : The Gardens Between
Genre : Aventure onirique, Casse-tête
Français : textes
Développeur : The Voxel Agents
Éditeur : The Voxel Agents
Date de parution : 20 sept. 2018[spacer color=”264C84″ icon=”Select a Icon”]
The Gardens Between est un jeu d’aventure onirique, très axé casse-tête, avec un gameplay rarement vu dans le monde du jeu vidéo. Vous allez jouer deux personnages à la fois, Arina et Frendt, dans leurs songes en parcourant tous les meilleurs souvenirs de leur vie, ces moments où l’amitié est le socle de la vie.
The Gardens Between s’articule autour de plusieurs niveaux, représentants des souvenirs, dans lesquels il vous faudra apporter une lueur au bout de chaque niveau. Pour avancer, il faudra… reculer. Oui vous avez bien lu, tout est dans la gestion du temps. D’ailleurs la prise en main, que ce soit au clavier ou à la manette est très simple. On avance dans le temps, on recule dans le temps et on valide une action. Point. Donc je reprends. A chaque fois que vous avancez, vous allez déclencher une action, toutefois, pour que cette action soit accessible, il faudra reculer dans le temps, sachant que la validation est acquise. *POUF!* Oui je sais, c’est pas évident à comprendre, mais vous regarderez la vidéo à la fin de cet article et vous comprendrez.
Même s’il est ardu d’expliquer par écrit les rouages de The Gardens Between, je peux vous garantir que c’est pas sorcier. Les rouages sont simples, après, c’est votre jugeote la clé du jeu. Je peux vous garantir qu’au début vous allez fanfaronner “Ouuuais trop faciiiile”, mais plus vous approcherez de la fin, plus vous vous sentirez petit. Les gars de The Voxel Agents ont créé des casse-tête de haut vol, et ça en devient jubilatoire. On n’a qu’une envie, progresser, passer ces foutus pièges et en sortir grandi.
Graphiquement The Gardens Between est très joli, et correspond tout à fait à l’esprit onirique de l’histoire. C’est très coloré, cartoonesque, et à la fois abstrait pour bien faire ressentir que nous ne sommes pas dans la vraie vie. Tout ceci est accompagné d’une musique douce et discrète qui pour autant manquerait si nous devions la couper. Bref, vous l’avez compris, The Gardens Between est à mon goût un jeu parfaitement bien réglé sur tous les points. Je n’ai hélas pu tester que la version PC, j’espère pouvoir vous parler de la version Switch bientôt.
Il est indéniable que The Gardens Between est un excellent jeu. Il est vendu, au jour où j’écris cet article, aux alentours de 17 euros. Vue la qualité du jeu, je ne peux pas dire que c’est cher, bien que la durée de vie n’est pas excessive. Ceci étant, il est bien difficile d’en établir la durée standard puisque tout est lié à votre capacité à résoudre plus ou moins vite les énigmes des casse-tête. Vous ne dépasserez pas les 6 heures de jeu, mais tant pis, The Gardens Between m’a emporté dans sa poésie géniale et l’esprit créatif ingénieux de ses développeurs.
Titre : Fais ta valise !
Genre : jeu de société pour toute la famille
Age minimum conseillé : 6+
Nombre de joueurs : de 1 à 4
Editeur et créateur : Studio Zygomatic
Distribué par Asmodee
Fais Ta Valise est un jeu rigolo et ultra simple pour toute la famille. Le but est simple, chaque joueur dispose d’une valise et d’objets divers et variés à emporter selon une destination. Il sera obligatoire d’emporter tous les objets demandés et de fermer sa valise sans encombre.
Au départ, on distribue à chaque joueur une valise vide, un lot d’objets. Au milieu de la table, retournée, une pile de destinations aux noms qui invitent au rêve. Chaque joueur en prend une et la découvre. C’est là que tout commence. Le premier qui réussit à faire rentrer tous les objets désignés par la carte dans sa valise et que cette dernière ferme complètement a gagné la manche. Il faudra donc agir vite tout en réfléchissant. C’est le côté casse-tête du jeu. La partie est gagnée par celle ou celui qui remporte 3 cartes donc trois manches.
Franchement c’est très rigolo car déjà il faut trouver comment empiler les objets, mais surtout, refermer la valise sans faire bouger un élément – qui du coup empêcherait que la valise ne se ferme- n’est pas aisé. C’est la partie agilité de Fais Ta Valise. Et croyez moi, il va y avoir des crises de nerfs ! Fais ta Valise est un jeu si simple, pas prise de tête et ô combien rigolo en famille. Vous trouverez ceux qui diront “mais si elle est fermée ma valise!” et les autres “Mouais, de toute façon tu as oublié les tongues”. Lorsqu’un joueur réussit à fermer sa valise, les autres joueurs vérifient qu’elle est bien fermée, et regardent aussi si tous les éléments requis par la carte destination sont dedans : ils valideront ou non le gain de la manche.
Le contenu de la boîte comporte donc les 4 valises et les objets. Tout est en plastique, d’assez bonne qualité, un lot de cartes “destination” en carton, désignant la destination et le degré de difficulté. (Cette difficulté se gradue avec des étoiles et correspond à la complexité du rangement souhaité dans la valise). Il y a aussi un livret qui comprend la règle et toutes les solutions pour ceux qui râleraient en disant “Maiiis c’est impossible de ranger tout ça !”. Si si. Ce n’est pas le tout de trouver la solution, il faut aussi réussir à fermer la valise, point d’orgue de la victoire !
Voilà, on ne peut pas dire grand chose de Fais Ta Valise car c’est un jeu où tout est axé sur la simplicité, la réflexion, et l’agilité. Fais Ta Valise fait partie de ces jeux qui ne demandent pas une grande mise en œuvre ou perte de temps en explication. Personnellement je me servirai de Fais Ta Valise pour expliquer à ma fille qu’il est important de ranger sa valise, son sac, sa chambre et … le bureau de papa.
|
Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. Accepter